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elmouja- la vague

Quelques nouvelles

13 Mars 2010 , Rédigé par Gildon Publié dans #Pied à terre

Au niveau national

Naufrage de Bechar
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Selon l'agence APS , le procès de l'affaire du naufrage du cargo "Bechar" et l'échouage du vraquier "Batna", survenus dans la nuit du 13 au 14 novembre 2004, la veille de l'Aïd el-Fitr et impliquant 6 personnes, dont l'ex-P-DG de la compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN), Koudil Ali, a été renvoyé à la prochaine session criminelle. En effet, devant être rejugée par le tribunal criminel d'Alger, avec une nouvelle composition, le motif du report de cette affaire réside dans "l'absence des avocats de deux prévenus", selon le président du tribunal, Benkharchi Omar, qui a ordonné la désignation d'avocats d'office pour les défendre. Par ailleurs, il faut rappeler que le tribunal criminel d'Alger avait déjà jugé cette affaire le 17 mai 2006 et avait, alors, condamné le P-DG de la Cnan, Koudil Ali, le directeur de l'équipement et des techniques, Amour Mohand Ouramdane, le directeur technique des navires, Akhdalen Kamel, l'inspecteur technique du navire "Bechar", Zaoui Saleh, et le directeur d'équipement des navires, "Debah Mostafa", à 15 ans de réclusion chacun. Un verdict qui avait suscité de nombreuses protestations au niveau national et international. Quand au 6e prévenu, qui est l'ingénieur technique chargé du suivi des navires, il avait écopé alors d'une peine d'une année de prison avec sursis. Les 6 prévenus, qui avaient introduit un pourvoi en cassation en 2006, comparaîtront à la prochaine session criminelle et répondront des mêmes chefs d'inculpation qu'en 2006, à savoir "la mise à la disposition du capitaine d'un navire en mauvais état et insuffisamment équipé" et "navigation d'un navire pour lequel le titre de sécurité est périmé", entraînant la disparition du navire et son équipage de 18 personnes. En outre, les avocats présents lors de l'audience ont demandé que le juge devant présider l'audience où seront jugés les 6 prévenus, le magistrat Benkharchi Omar, soit dessaisi de l'affaire car "ayant pris connaissance du dossier quand il faisait partie de la composition de la chambre d'accusation qui a renvoyé l'affaire devant les assises d'Alger en 2006". M Brahimi Miloud a affirmé, dans ce cadre, que les avocats en charge de l'affaire avait saisi au préalable (un mois avant l'audience), le président de la Cour d'Alger en vue de dessaisir le magistrat en question de cette affaire mais "rien n'a été fait", a-t-il dit.( Maghreb 13/03/10)

Affaire du thon rouge

Le procès de l’affaire dite du thon rouge qui devait être jugée hier devant le tribunal d’Annaba a été reporté au 24 mars prochain en raison de l’absence à la barre des Turcs impliqués dans le dossier. Un report qui fait suite à un premier ajournement demandé le 29 octobre 2009 à la fois par le parquet et par le juge chargé du dossier pour, notamment, un complément d’information.
Cette affaire de blanchiment de capture de thon dans laquelle sont impliqués le secrétaire général du ministère de la Pêche, le directeur des pêches maritimes et océaniques, les deux armateurs des bateaux algériens, El Djazair II et, l’armateur turc Oghlou Hassan Chirif ainsi que ses 4 compatriotes pêcheurs avait défrayé la chronique l’été dernier de par son caractère scandaleux et il était attendu qu’elle connaisse un dénouement hier. Le report du procès, qui a été introduit par les avocats de la défense auprès du tribunal sur la base de l’absence inexpliquée des accusés turcs a été agréé par le juge qui a fixé la date du 24 mars courant pour statuer définitivement et rendre son verdict et ce “quoi qu’il advienne ce jour-là”, a déclaré le magistrat chargé du dossier.
À signaler que le dossier en question avait été confié au tout début à M. Belkebir, un juge maîtrisant sur le bout des doigts le droit maritime et que l’audience d’hier était présidée par un autre magistrat tout aussi décidé, semble-t-il, à faire éclater la vérité sur les implications des uns et des autres acteurs dans cette affaire de pêche illicite et d’évasion fiscale. Rappelons que cette affaire a défrayé la chronique le 10 juin 2009 lorsque les garde-côtes de la station maritime principale de Annaba avaient arraisonné au large des côtes de Annaba 3 bateaux turcs avec à leur bord 210 tonnes de thon rouge pêchées dans les eaux territoriales algériennes et vendues par un bateau algérien, en l'occurrence El Djazair II. Les 4 inculpés turcs, Oghlou Hassan Chirif, Iddiz Mustapha, Blibel Iroll et Certer Iroll avaient été accusés de pêche illicite dans les eaux territoriales algériennes, de contrebande et de falsification de registres et des armateurs algériens, pour pêche illicite et deux autres cadres algériens, pour trafic d'influence et de détournement de fonction au profit de tierces personnes.
Lors des précédentes audiences, le juge avait pu semer le doute quant à la thèse selon laquelle il y avait eu transbordement des quantités de thon (210 tonnes) supposées avoir été pêchées par les bateaux algériens puisque les pêcheurs turcs avaient affirmé avoir pris cette quantité en 3 jours ce qui était quasiment impossible au vu des constats faits par les garde-côtes lors de l’inspection des bateaux de l’armateur turc. Et donc le juge avait conclu que les thoniers turcs avaient pêché cette quantité pendant plusieurs jours et qu’en fait, il n’y avait pas eu de transbordement mais que les armateurs algériens avaient tout simplement vendu aux Turcs leur quota. La dernière audience avait vu le procureur de la République requérir des  peines de 5 à 8 ans de prison ferme assorties d’une amende égale à 10 fois la valeur marchande de la capture illicite à l’encontre de l’ensemble des accusés.
(Liberté 10/03/10)

 La CNAN va acquérir 26 navires

Les pouvoirs publics sont en passe de donner les moyens à la Compagnie nationale de transport maritime (CNAN) pour lui permettre de se repositionner sur le marché international et reconquérir sa place perdue ces dernières années.

Au programme, 26 navires à commander. Le dernier conseil interministériel, qui a examiné le dossier, est attendu pour se prononcer définitivement, lors de sa prochaine réunion, sur ce programme de renouvellement du pavillon national. « Il y a une prise de conscience aujourd’hui. Ces navires vont être acquis dans le cadre du nouveau plan de relance économique 2010/2014 », a annoncé le directeur général de la CNAN MED, jeudi, à l’occasion d’une rencontre avec les opérateurs économiques et autres professionnels à Béjaïa. Beaucoup notent que cette volonté de redéploiement vient à contre-courant du déclin observé dans le monde par le secteur maritime, et dont les effets de la crise qui l’a secoué au deuxième semestre 2008 ne sont pas encore dissipés. « Effectivement, beaucoup de navires dans le monde sont partis en démolition. Mais la crise a touché les armements qui font dans le transport de conteneurs et dans les cargaisons homogènes. Elle n’a pas été aussi violente concernant les transporteurs de ligne. Cette crise n’a pas touché l’Algérie parce qu’à la fin 2008 et courant 2009, les importations ont augmenté du fait qu’on était dans un programme d’investissement », explique le DG de CNAN MED.

Ce n’est pas la première fois, faut-il noter, que la CNAN fait l’objet d’un plan de redéploiement. Ceux qui ont précédé cet ultime programme annoncé par le DG de CNAN MED ont eu un goût d’inachevé. Il faut dire que cette compagnie a été secouée aussi par des vagues de désinvestissement, et ce, depuis le premier programme d’investissement datant des années 1970. L’essentiel de sa flotte a été acquise, d’ailleurs, entre 1977 et 1979 à la faveur du deuxième plan quinquennal avant que le Conseil des participations de l’Etat (CPE) ne décide, en 2003, d’un plan de restructuration. La prise de conscience que l’on souligne aujourd’hui est motivée par la perte d’une part de marché conséquente et le manque à gagner est également important en termes de surestaries payées au profit des transporteurs étrangers. « Le port de Béjaïa, à titre indicatif, a transporté 25 millions de tonnes de marchandises solides en 2009 (95% par des capacités étrangères).

Le volume des surestaries payées par l’Algérie en 2009 est donc important, d’où la nécessité de développer le pavillon national », soutient de son côté M. Moussaoui, DG du port de Béjaïa. Ce responsable a fait savoir que les ports algériens viennent d’être destinataires d’une instruction du ministère de tutelle pour se doter en moyens de débarquement. Et d’ici 2013, les 12 quais du port de Béjaïa auront chacun sa propre grue automotrice.( El Watan 07/03/10)




Foire flottante à Alger

Bluexpo amarre à Alger : Les Turcs prospectent le marché local

Dans l’après-midi de vendredi dernier et pour trois jours, la foire flottante turque, Bluexpo, a élu domicile au port d’Alger avec la participation d’une centaine d’exposants.ankara



C’est à bord du navire Ankara que les sociétés turques de différents secteurs exposent leurs produits, notamment l’équipement industriel, le bâtiment, la fabrication de composants industriels, l’équipement sanitaire et hôtelier ainsi que la décoration. Cette manifestation permettra aux participants, selon ses organisateurs, de s’enquérir de visu des projets de partenariat mutuellement avantageux qu’ils peuvent concrétiser avec des opérateurs locaux. Pour les concepteurs de ce projet, le but est de permettre aux opérateurs qui prennent part à cette seconde édition de Bluexpo d’élargir leurs échanges commerciaux avec l’Afrique du Nord. Cette foire flottante se veut « un moyen de renforcement des relations économiques entre l’Algérie et la Turquie et un carrefour de contacts entre les opérateurs des deux pays », rapporte l’APS, citant, Ahmet Neçati Bigali, ambassadeur de Turquie à Alger, présent à l’inauguration officielle. Avant de jeter l’ancre au port d’Alger, Bluexpo, initié pour la première fois en 1926 par le leader turc Mustapha Kamel Ataturk, a déjà fait escales dans des ports de Turquie, de Grèce, d’Egypte, de Libye et de Tunisie. Notons que l’édition précédente, organisée en 2008, avait réuni une centaine d’entreprises turques d’équipement industriel et de bâtiments et quelque 3000 visiteurs, selon l’ambassadeur.(El Watan 28/02/10)


Des pôles logiqtiques pour 4 ports algériens

Un responsable de la Société de gestion des participations des ports (Sgp - Sogeports), a indiqué, hier, que les ports d'Alger, de Béjaïa, de Skikda et de Ghazaouet (Tlemcen), seront dotés, en 2010, de quatre pôles logistiques de transport, dit " bout en bout ". Le transport "bout en bout" (supply chain management) est un mode de transport combiné qui prend en charge l'acheminement d'une marchandise du fournisseur au destinataire final, en faisant intervenir tous les modes de transport, maritime, ferroviaire ou routier. Selon un responsable de la Sgp-Sogeports, l'étude de faisabilité de ces quatre pôles logistiques a été déjà réalisée. Par ailleurs, le projet d'extension du terminal à conteneurs du port d'Oran sera lancé en 2010, selon le même responsable. Rappelle-t-on que le terminal du port d'Oran sera proposé en 2010 pour un projet de partenariat en concession avec management, à l'instar des ports d'Alger, de Djendjen (Jijel) et de Béjaïa. Mettant en évidence que cette opération ne sera ni une privatisation ni une cession de cette infrastructure portuaire, mais plutôt une concession sous forme de partenariat en respect aux nouvelles règles régissant les investissements directs étrangers. Concernant le trafic maritime pour l'année 2009 dans les dix ports nationaux, le volume a atteint 123,1 millions de tonnes, en recul de 3,92% par rapport à l'année 2008 (128,1 mt). Abondant dans le même sens, le responsable de cette entreprise, dira que la part de marchandises non conteneurisées ayant transité par les ports nationaux, représente 15,7 millions de tonnes. Ajoutant que la cinquième édition de la manifestation pour l'investissement dans les activités des ports de pêche et du commerce halieutique "Minappech" se tiendra durant le premier semestre de l'année en cours au Palais des expositions (Pins maritimes), à Alger.
A noter que cette manifestation économique sera organisée par le groupement d'intérêt commun des entreprises de gestion des ports de pêche (GIC EGPP). Pour rappel, lors de la quatrième édition de"Minappech", tenue en mai 2009, un appel à manifestation d'intérêt national et international concernant notamment 70 projets relatifs aux activités halieutiques, a été lancé par 10 entreprises de gestion des ports de pêche (EGPP), qui ont présenté leurs offres d'investissement au profit de 31 ports de pêche qu'elles gèrent. Par ailleurs, le nombre des véhicules qui a transité par les ports de Djendjen et de Mostaganem, depuis octobre dernier, conformément à la décision des pouvoirs publics de réorienter le trafic de marchandises non conteneurisées sur d'autres ports que celui d'Alger, est de 41.806 unités, selon les chiffres de Sogeports. Il y a lieu aussi de souligner que le port de Djendjen a reçu durant cette période 25.025 véhicules embarqués sur 50 navires, alors que 16.781 ont transité par le port de Mostaganem sur 54 navires. D'après le même responsable, le port de Djendjen a vu ainsi le transit du plus grand nombre de voitures importées en raison de la profondeur de ses eaux qui atteignent 18 mètres, ce qui lui permet l'accostage de grands bateaux, alors que le tirant d'eau du port de Mostaganem ne dépasse pas les 8 mètres, a-t-il expliqué.(Maghreb 02/02/10)

Oran- conférence GNL16
  À quelque deux mois de l’échéance de la 16e Conférence internationale du gaz naturel liquéfié (GNL 16), qui doit se tenir à Oran du 18 au 21 avril prochain, rien ne semble aller comme il se doit puisque, jusqu’ici, aucune des structures prévues pour cet important rendez-vous n’est encore prête.
En effet, l’ensemble des délais prévisionnels et contractuels pour la livraison des projets, notamment celui du Centre des conventions d’Oran (CCO), sont aujourd’hui dépassés, et la situation sur le terrain contredit largement les rares appréciations des autorités locales et du comité d’organisation de la conférence qui se refusent toujours à parler de retards.lnglogo.jpg
Il faut dire qu’au fur et à mesure que les semaines passent, la communication autour des préparatifs du GNL 16 se raréfie de toutes parts. Le scandale qui secoue la compagnie Sonatrach, qui finance et chapeaute une grande partie des chantiers liés au GNL 16, ne doit pas être étrangère à ce silence pesant, dès que l’on tente d’avoir un interlocuteur capable de nous faire un point sur la situation. D’ailleurs, il y a deux semaines, le tout nouveau P-DG de Sonatrach par intérim, le Dr Feghouli Abdelhafid, tenait à Oran une conférence de presse pour un point de situation autour des préparatifs du GNL16 “en sa qualité de président du comité d’organisation”. Une rencontre où, étrangement, seuls les organes de presse publique furent invités à assister.  Dès lors, la date de référence reste celle que claironnait le ministre de l’Énergie et des Mines, M. Chakib Khelil, lors de chacune de ses visites, à savoir une réception du CCO à la fin de décembre 2009.
Le délai contractuel fixé à la société espagnole OHL, qui réalise l’ouvrage, fin janvier 2010 est aussi dépassé, posant d’autant la question des pénalités et de leur prise en charge. Sans oublier le doute que cela fait planer sur les conditions d’ouverture de la conférence le 16 avril prochain.
Le CCO d’Oran, qui a ingurgité pas moins de 400 millions d’euros, est une structure présentée comme ultra-moderne et spécialement conçue pour l’évènement. La plupart des équipements et les matériaux nobles utilisés pour sa réalisation sont importés. Le CCO abritera un auditorium de 3 000 places, un hall d’expositions de 20 000 m2 et des halls d’expositions et des salles de réunions. Ceci sans oublier la réalisation d’un hôtel, le Méridien, 5 étoiles d’une capacité de 300 chambres dont la réalisation accuse, lui aussi, un long retard. L’inquiétude plane aussi, mais à un degré moindre sur la conduite de la multitude de chantiers lancés à Oran dans le cadre de cette conférence du GNL16. Une pléthore de marchés pour l’embellissement d’une douzaine de rond-points – certains en sont à leur seconde opération d’aménagement depuis 5 ans –, l’embellissement de la ville et la réhabilitation de centaines d’immeubles se trouvant sur les principaux boulevards. Il s’agira surtout de traiter les façades dégradées, la réfection des trottoirs et des rues. En somme, une mise à niveau générale et sur tous les plans de la capitale de l’Ouest.
Dans tout cet ensemble, la question notamment des capacités d’hébergement de la ville d’Oran se pose aussi avec acuité. Là encore, le flou est entretenu pour l’accueil des quelque 4 000 congressistes attendus. Avec une liste de 17 hôtels retenus par un bureau d’études anglais chargé de l’opération du choix des établissements hôteliers, le déficit est criant. La location de car-ferries pour 3 millions d’euros – le “Grand Voyager” et le “Grand Célébration”, propriété d’une société espagnole, et qui seront à quai au port d’Oran durant une semaine, risque de ne pas suffire et le recours à un troisième bateau de croisière se précise. C’est aussi pour permettre l’accostage de ces navires de croisière de luxe que des travaux importants d’aménagement au port d’Oran sont en cours d’achèvement, le tout pour un montant de près de 500 millions de dinars.
Mais, récemment, l’audition du directeur du tourisme d’Oran par son ministre de tutelle a jeté un pavé dans la mare puisque sur 133 établissements hôteliers de la ville, près de 90% fonctionnent sans autorisation d’exploitation, et l’on croit savoir que sur les 17 hôtels retenus pour le GNL 16, certains sont dans cette situation.
La prochaine visite que devrait effectuer la semaine prochaine
M. Chakib Khelil, l’avant-dernière pour inspecter tous les chantiers liés à la conférence du GNL 16, s’avère dès lors des plus tendues.
À ce moment-là, le point de la situation réelle devra se faire avec le spectre des enquêtes que l’on annonce de partout autour des marchés de Sonatrach. Certains s’attendent d’ailleurs à ce qu’un regard très particulier soit posé sur les préparatifs ayant entouré le GNL 16. Un cadre de Sonatrach requérant l’anonymat dira que l’importance politique de la tenue du GNL 16 à Oran fait que s’il doit y avoir des révélations, cela ne pourra intervenir qu’à la fin de la conférence. Le feuilleton va-t-il continuer ?
(Liberté 09/03/10)


DANS LES PORTS

Annaba

  • La sardine à 250 DA
    Alors que les viandes blanches ont connu une baisse après la fête du Mawlid, la sardine, elle, a ravi la vedette à tous les produits en affichant 250 DA le kilogramme.
  • Ce 13 mars2010, le port affiche 16 navires à quai et 2 en rades,le navire de la Cnan Ibn Khaldoun II est attendu dans ce port pour le 19/03/2010.


Oran

  • La Fédération nationale des travailleurs des ports est finalement née à Oran. Elle est constituée des syndicats d’entreprise des 10 ports marchands du pays. Affiliée à l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), elle a été créée pour défendre et préserver les intérêts des 15 000 travailleurs exerçant dans la dizaine d’enceintes portuaires du pays. C’est le patron de la Centrale syndicale, Madjid Sidi Saïd, qui a présidé aux travaux de création de cette nouvelle structure syndicale. «Je suis très fier de cette nouvelle structure qui vient consolider les assises syndicales de l’UGTA.

Skikda

  • Le port affiche aujourd'hui 14 navires à quai dont 4 au port pétrolier, les navires en rade sont en nombre de 6.
  • L’ambassadeur des USA subjugué

    Son Excellence l’ambassadeur des Etats-unis d’Amérique en Algérie, David Pearce, qui était en visite à Skikda le 24 février, n’a pas caché son intérêt, encore moins son penchant pour les vestiges archéologiques qu’il a eu à voir au musée et au théâtre romain.

Béjaia
  •  On dénombre 15 navires à quai, 19 en rade
  • Ce ne sont pas moins de 15,8 millions de tonnes de marchandises qui ont été traités par le port de Béjaïa au cours de l’exercice précédent, soit une légère augmentation de 1% par rapport à l’année 2008. Ces résultats avancés par la direction générale de l’Entreprise portuaire de Béjaïa (EPB) sont jugés satisfaisants et rendus possibles grâce au poste marchandises générales mis en place ayant pu enregistré un bond de 13%, ce qui a permis de compenser l’importante baisse de 9% des exportations d’hydrocarbures avec seulement 8,8 millions de tonnes, contre 9,5 en 2008.
Alger
  • 39 navires sont au port ce 13/03 et des dizaines d'autres mouillés en rade.
  • Pour éviter de nouveaux vols au niveau du terminal à conteneur.Le wali d'Alger invite Djazair Port World à changer de méthode de travail
    Après les récentes révélations faite par l'entreprise Djazair Port World, laquelle avait dénoncé des vols au niveau du terminal à conteneurs, le wali d'Alger a réagi en organisant une réunion avec le staff dirigeant de cette entreprise. Lors de cette réunion, le wali a accordé à l'entreprise un délai de vingt jours pour trouver des solutions aux problèmes organisationnels à l'origine des vols, a indiqué une source de l'entreprise.

Mostaganem
  • Pollution maritime : Les côtes de Stidia envahies par une marée noire

    Après le mauvais temps qui aura définitivement réduit le minuscule abri où ils entassaient jusque-là leurs barques, les pêcheurs de Stidia ne sont pas au bout de leurs peines.

    Une hideuse marée noire vient d’envahir leur côte, recouvrant, par endroit, les rochers de la falaise et même une partie de la plage. Les plaques de goudron auront totalement défiguré les parties aériennes des rochers, y déposant une glue envahissante et glauque qui empêche hommes et animaux de se déplacer dessus au risque de s’empêtrer. Etant située au sud du golfe d’Arzew, cette plage se trouve parmi les plus exposées en cas de marée noire. Au large, l’horizon est totalement déchiré par les masses imposantes des dizaines de méthaniers et de pétroliers géants qui viennent de toutes parts prendre livraison des hydrocarbures destinés à l’exportation.
Djendjen
  • Le port de Djendjen semble en bonne voie pour relever le défi. L’important trafic, sans précédent, qu’il connaît ces derniers mois prouve si besoin est qu’il est à la hauteur de ses nouvelles missions. 

    Le responsable de l'Entreprise portuaire (EPJ) a indiqué que depuis le début d’octobre dernier un total de 35 000 engins, entre véhicules légers, lourds et de travaux publics, ont été réceptionnés au port de Djendjen (Jijel). Rien que pour le mois décembre, 25 000 véhicules ont été débarqués sur les quais contre 9 647 véhicules pour le mois d’octobre, a souligné le président-directeur général de l'entreprise, Mohamed Athmane. Il faut mettre en évidence que ces opérations ont permis la réception, à ce jour, de 38 navires en provenance d’Europe et de pays asiatiques, notamment de Chine et de Corée du Sud.
    Le responsable de l'EPJ a indiqué que le port de Djendjen a réussi à traiter deux car-carriers simultanément, ce qui constitue une “prouesse”. Les enlèvements des véhicules se font “sans problème”, à la “grande satisfaction des différents concessionnaires qui n'ont rencontré aucune difficulté liée aux formalités douanières et de police”. M. Athmane a déclaré que le séjour moyen d'un car-carrier à l'intérieur du port est de 4 heures et 15 minutes, notant que 60 chauffeurs, répartis entre deux brigades  (7 h - 13 h et 13 h - 19 h), effectuent régulièrement un “travail de fourmi” entre le pont ou la cale du car-carrier et le terre-plein où sont entreposés les véhicules. Par ailleurs, les commandants de car-carriers, qui ont mouillé au port de Djendjen, ont fait part de leur satisfaction quant aux conditions d'entrée et de sortie des navires ainsi que de la rapidité du traitement des cargaisons.
    Aussi faut-il rappeler que ce port, qui ambitionne de constituer une liaison entre l'Afrique, l'Europe et le Moyen-Orient, connaît un trafic sans précédent avec, particulièrement, la réception de plusieurs kilomètres de conduites en acier de gros diamètre pour, entre autres, des projets de développement hydraulique.
    Les responsables de l'Entreprise portuaire ont indiqué que le trafic projeté pour l'horizon 2015 est de 2 millions d'EVP (équivalent vingt pieds) avec la concrétisation du projet de développement d'un terminal de transbordement. Le port de Djendjen dispose de 104 hectares de terre-pleins, de tirants d’eau atteignant les 18 m et des possibilités de stockage à l’extérieur, principalement au niveau de la zone d’activité d’Ouled Salah qui se trouve à 5 minutes seulement du port. L’année 2009 a été particulièrement bonne pour le port de Jijel qui a connu un boom sans précédent. Tous les secteurs ont enregistré d’importantes hausses et la courbe est toujours ascendante.
    Ces réalisations ont été à l’origine de l’augmentation du trafic au niveau du port et du volume global des marchandises qui a atteint  250 000 tonnes en 1992 alors qu’en 2009 il est passe à  1 000 000 de tonnes qui ont transité par ce port et avec un chiffre d’affaires de 200 milliards de centimes.( liberté)

Ténès
  • Malgré une faible production de poissons, la direction de la pêche de la wilaya de Chlef dresse un bilan plutôt « satisfaisant » sur l’activité du secteur.
En effet, dans son rapport annuel présenté récemment devant les membres de l’APW, la direction de la pêche souligne que « l’activité a connu une évolution importante grâce aux efforts consentis par les pouvoirs publics, qui se sont traduits, notamment, par le développement de la flottille de pêche et l’amélioration du niveau de production ». La production réalisée en 2009 est estimée à 3788 tonnes, soit une baisse de plus de 2000 tonnes par rapport aux années précédentes. Les responsables de la direction de la pêche justifient cette baisse par les « conditions climatiques et la rareté de la ressource halieutique ».

Le littoral de la wilaya s’étend sur 120 km et dispose de trois ports de pêche : Ténès, El Marsa et Beni Haoua. Un quatrième est en cours de réalisation à Sidi Abderahmane, pour un coût global de plus de 140 milliards de centimes. Le secteur a été également doté de 13 nouvelles embarcations, ce qui porte le nombre à 352 bateaux de pêche entre thoniers, sardiniers et petits métiers. C’est dire l’effort qui a été consenti par l’Etat pour donner à l’activité les moyens nécessaires, afin d’augmenter les capacités de pêche et d’assurer une disponibilité du produit sur le marché local et national. Cependant, la réalité est toute autre, puisque le kilo de sardine, pour ne citer que cet exemple, est cédé à 250 DA sur les marchés de la wilaya !


Ghazaouet
  • Une liaison ferroviaire Beni-Saf/Ghazaouet

    L’information est passée inaperçue lors de la dernière visite du ministre du Transport, Amar Tou, lorsqu’il avait exposé en juin dernier à Témouchent le programme de maillage du pays par rail au titre du quinquennal. Ainsi, c’est un avis d’appel d’offre national et international, mis en ligne sur Internet par l’Agence Nationale d’Études et de Suivi de la Réalisation des Investissements Ferroviaires (ANESRIF), qui en fait état.

    Cet appel concerne précisément l’étude d’une ligne ferroviaire électrifiée de 85 km entre Ghazaouet et Béni Saf pour une exploitation à 160 km/h. Voilà qui ouvre de nouvelles perspectives pour le développement de Béni-Saf comme de la wilaya de Témouchent avec sa mise en relation avec le port commercial de Ghazaouet, une infrastructure appelée également à desservir la future zone industrielle de Sonatrach. Par ailleurs, un autre avis d’appel invite les bureaux d’étude à soumettre pour une étude de raccordement de la ville de Béni Saf au réseau ferroviaire national via Aïn Témouchent. Cette étude concerne la réalisation d’une gare à Béni Saf.

    De même, un autre avis d’appel a été émis le 8 février pour une étude relative à l’électrification en 52Kv/50Hz de la ligne ferroviaire entre Sénia et Aïn Témouchent à 160 km/h, ce qui complétera les travaux de modernisation qui vont incessamment être lancés sur cette ligne par le renouvellement des voies et du ballast. On sait enfin, comme cela a été annoncé dans ces mêmes colonnes, qu’une nouvelle ligne électrifiée reliant Aïn Témouchent à Sidi Bel Abbes sur 60 km est en projet. Au total, Témouchent devrait disposer au terme du quinquennal d’un réseau 215 km, ce qui triplera la longueur du réseau actuel.



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