L'hiver 2012
Ma pensée première va à tous ces algériens qui grelottent dans le froid et la faim, des centaines de villages et de douars sont inaccessibles. Sonatrach se presse de doubler les livraisons de gaz pour cette europe qui s'ennuie mais la bonbonne de gaz devient un produit de luxe pour le citoyen algérien, que dire de plus quant les agences de presses rapportent le début de la livraison par les russes de 180 chars de combats T-90 mais pas un seul chasse neige alors près de 3 000 écoles sont toujours fermées.
Les marins d’IBC lancent un cri de détresse
Le personnel navigant de l’entreprise du transport maritime International Bulk Carriers (IBC), filiale de CNAN Group, lance un cri de détresse. Sans salaire depuis une année, 250 marins que
compte cette entreprise ne savent plus à quel saint se vouer. "En effet, 250 marins, ayant pourtant le statut de travailleurs permanant se sont retrouvé au chômage forcé, et leurs salaires sont
bloqués depuis le 1er janvier 2011. Ces derniers n’ont eu le droit ni à un salaire d’attente ni indemnité du chômage technique, et surtout pas de couverture sociale", a rétorqué le Secrétaire
général du conseil syndical du personnel naviguant d’IBC, M. Rabah Youtichene. Pour plus de précision, M. Youtichene dira que ces personnels ont été victimes du litige entre IBC et son partenaire
saoudien. D’après ce syndicaliste, "huit navires sont à l’arrêt depuis plus d’ un an, dont trois sont en Grèce, quatre en Malaisie et un en Chine".
Suite à leur rassemblement tenu au mois de décembre 2011, les marins ont eu des promesses de la part des responsables concernés, qui leur ont assuré que leur problème sera réglé dans quelques
semaines. "Nous sommes à la fin du mois de janvier, et rien du concret n’a été apporté à notre pénible situation", a martelé le SG du conseil syndical du personnel naviguant d’IBC. Les marins ont
à cet effet, adressé une lettre au ministère des Transports dans laquelle ils ont expliqué la situation dans laquelle ils se débattent. La tutelle a dans ce sens mené une action d’urgence, en
donnant une instruction à la direction de la marine marchande et des ports (DMMP) de réintégrer les marins d’IBC temporairement, a expliqué M. Youtichene qui ajoute que "malheureusement, une
partie infime a été recrutée par les compagnies saisies par la tutelle, soit 2 officiers sur les 250 marins". Toutefois, le SG du conseil syndical du personnel naviguant d’IBC estime qu’"il y’a
une résolution des partenaires pour le rapatriement des 8 navires en questions, mais sa traîne alors que 250 familles sont sans revenu depuis une année", a fulminé la même source. Le conseil
syndical du personnel naviguant d’IBC tiendra une assemblée générale aujourd’hui, afin d’évaluer la situation des lieux et de réfléchir au mouvement de protestation à entreprendre.
le 30.01.12 dans El Watan
Une assemblée générale se tiendra jeudi prochain au siège d’IBC pour décider des actions à mener pour faire aboutir les revendications des 250 marins.
Les membres du syndicat des marins d’IBC lancent un appel à la base pour décider des suites à donner à leur mouvement de protestation. Une assemblée générale est prévue jeudi prochain au siège d’IBC. «Les marins sans salaires depuis des mois auront à trancher sur la forme de l’action à mener prochainement», explique M. Youtichene, secrétaire général du syndicat des marins d’IBC, qui s’est déplacé hier à notre rédaction en compagnie de quatre membres. Les syndicalistes lancent un appel également aux ex-otages du navire MV Blida, leur demandant de rejoindre ce mouvement. «Ça déborde ! Les marins ne peuvent plus se retenir», met en garde le secrétaire général du syndicat.
En effet, la réunion de jeudi se veut une occasion pour les marins d’IBC d’évaluer l’évolution de leur dossier. C’est une occasion également de prendre une décision commune, à savoir la détermination de la prochaine action de protestation. «Cette fois-ci ce sera une résolution ferme», juge M. Youtichene. Et d’exiger : «Qu’ils nous donnent des salaires d’attente et prennent leur temps pour trouver des solutions. Les promesses et les bonnes intentions ne nourrissent pas nos enfants.» Suite à une lettre adressée au ministère des Transports, ce dernier a donné instruction à la direction de la marine marchande et des ports (DMMP) de réintégrer temporairement les marins d’IBC. De l’avis des syndicalistes d’IBC, l’opération a échoué. «Sur 250 marins, les compagnies n’ont recruté que deux officiers.
Cette procédure était une aubaine pour ces compagnies de se doter d’un personnel qualifié», regrettent les syndicalistes. Pour rappel, la compagnie IBC est en litige avec son partenaire
saoudien. Ainsi, 8 navires algériens sont en arrêt depuis des mois. Trois navires en Grèce, quatre en Malaisie et un en Chine. A présent, l’affaire opposant IBC et son
partenaire saoudien est en arbitrage. Le personnel de ses navires, qui attend le dénouement de cette affaire, demeure sans salaire. Il convient de rappeler que M. Mansouri, DG d’IBC a déclaré
en décembre dernier que le problème sera bientôt réglé. «Les navires en arrêt seront rapatriés très prochainement. C’est une question de semaines», a-t-il affirmé suite au sit-in des marins
devant le siège de la CNAN le 18 décembre dernier.
le 24.01.12 | El Watan par F.A.
Les marins du MV Blida, ex-otages des pirates somaliens, réclament leurs droits. Trois d’entre eux observent un sit-in depuis dimanche devant le siège d’International Build Carriers (IBC), filiale du groupe CNAN, à Hydra (Alger), pour exiger le paiement de leurs salaires et indemnités.
Restés otages pendant près de 11 mois, les marins à bord du navire qui travaillaient pour un affréteur jordanien, n’ont pas perçu leurs salaires depuis près de 15 mois. Libérés en novembre dernier, ils vivent dans l’«incertitude». «Nos salaires n’ont pas été versés depuis 15 mois et les indemnités que l’employeur devait verser n’ont pas été honorées», atteste Benmoussa Ahmed, mécanicien à bord du MV Blida. «Nous avons vécu le martyre auprès des pirates somaliens, mais nous sommes aujourd’hui en train de vivre l’enfer, vu le retard accusé dans le versement de nos salaires et indemnités», expliquent les trois marins venus de Annaba, Beni Saf et Jijel. Ils dénoncent «la discrimination caractérisée» pratiquée par leur employeur qui n’a pas adopté la même attitude vis-à-vis de leurs collègues ukrainiens, jordaniens, indonésiens et philippins qui étaient également à bord du vraquier battant pavillon algérien.
«Nous avons eu des contacts avec nos anciens collègues qui ont confirmé qu’ils avaient perçu leurs salaires et indemnités. Nous sommes indignés du fait que seuls les Algériens ont été lésés», accusent les trois protestataires, qui comptent saisir les instances compétentes pour faire valoir leurs droits. «C’est de la discrimination», estiment-ils. «Nous savons que le navire est toujours au Kenya, ce qui veut dire que tout espoir d’être rappelés pour reprendre le travail à bord est à écarter. Nous réclamons le paiement complet de nos salaires et exigeons une indemnité pour les dommages que nous-mêmes avons subis durant 11 mois et pour les souffrances infligées alors que nous étions otages.»
Non seulement ils ont vécu l'enfer mais les voilà encore bafoués dont leurs droits ce qui est une nature dans un pays de non droit.
Frayeur à Bejaia autour du bateau «Labici-B»
Le « Labici-B », un général cargo, à l’abandon au port de Bejaia, depuis 2001, s’est enfoncé dans l’eau de plusieurs crans, à cause des infiltrations d’eau qu’il a reçues depuis le début des intempéries ayant sévi dans la région, selon le PDG, de l’entreprise du port de Bejaia (EPB).
Voué à un sabordage imminent, «le navire a pris beaucoup d’eau et s’est alourdi au point de s’enfoncer», a précisé, M.Djelloul Achour, estimant que le risque de le voir couler dans le mole est complètement écarté, ayant été «mis à sec et vidangé totalement».
L’opération de pompage, qui a duré plusieurs heures, a eu pour effet de le stabiliser entièrement, a-t-il ajouté.
Abandonné par son armateur, sur les lieux, puis saisi par la justice suite à une demande de ses créanciers, ce bateau pavillon St-Vincent, une île détaxée des Caraïbes, fait l’objet dune décision de sabordage imminent.
Il sera immergé, dés le retour du beau temps, à 12 km au large de Bejaia, a indiqué M.Achour, se réjouissant visiblement de sa disparition, à cause de toutes les contraintes qu’il fait peser sur la plate-forme portuaire, la plus évidente, étant le fait qu’il occupe inutilement un quai.
Affecté d’avaries multiples, le navire, pose également des problèmes de maintenance et de sécurité, nécessitant sa surveillance permanente.
Le bateau “Labici-B” abandonné depuis sa saisie en 2001
En dépit du lancement de trois avis de vente aux enchères publiques, et même, semble-t-il, d’un quatrième, le Labici-B n’a à aucun moment réussi à
“séduire” un quelconque adjudicataire.
Ce cargo-martyr entre dans sa onzième année de paralysie, stagnant au poste 8 du port de Béjaïa. “L’occupation, désormais pérenne, du poste 8 du port de Béjaïa se fait au détriment
d’une gestion on ne peut plus rentable des postes et du quai dont le poste 8”, déplore Djelloul Achour, directeur général de l’EPB.
De nombreux bateaux de la même taille et du même tonnage, en effet, au lieu de rester en rade, (générant ainsi des surestaries préjudiciables aux finances de l’EPB) auraient pu et
pourraient accoster le poste 8 s’il était libéré, débarrassé de cet encombrant cargo qui y stagne depuis 2001, année où il a été procédé à sa saisie conservatoire. Cette saisie avait
abouti à “une déchéance de propriété et mise en adjudication par les Domaines”. Une mesure dictée par “des créances non honorées à des fournisseurs et autres prestataires de services
étrangers et nationaux par le (ou les) propriétaire(s) du Labici-B”, rappelle M. Djelloul.
à noter, par ailleurs, qu’en dépit du lancement de trois avis de vente aux enchères publiques et même, semble-t-il, d’un quatrième, le Labici-B n’a à aucun moment réussi à “séduire”
un quelconque adjudicataire. En 2009 des affiches informaient qu’“il allait être procédé, le 28-7-2009 à 10h précises, au niveau du port de Béjaïa, à la vente aux enchères publiques
verbales et sur soumissions cachetées d’un navire de type cargo (pour) transport de marchandises dénommé Labici-B. Les caractéristiques techniques du bateau saisi : Longueur = 82 m,
largeur = 15 m, année de construction = 1978, vitesse = 12,05 nœuds, tirant d’eau = 06,143 m, 2400 cv 500RPM, jauge brute = 2697 Tx, jauge nette =1448 Tx, machines = MAK 8 MU 452
AK”.
Pourtant, ce cargo battant pavillon de St-Vincent (sans doute de complaisance, nous dit-on) était loin de se douter qu’il allait être happé par un tourbillon infernal de déboires
puisqu’avec une mise à prix de 800 000 $ (dollars US), les acquéreurs potentiels ne se bousculaient pas, mais alors pas du tout au portillon. Les conditions de vente étaient ainsi
énumérées : “Paiement au comptant 11% en sus du prix principal, paiement par chèque certifié, visite autorisée 8 jours avant la vente. Soumission rédigée sur papier timbré,
cautionnement par chèque certifié d’un montant de 21% de l’offre, payable le jour de la vente.” Au mois de mars 2010, a-t-on appris difficilement et avec parcimonie dans la
communication de l’information au niveau des Domaines, “un acquéreur s’était manifesté, en la personne morale Eurl Art-Metal sise à Batna”, mais une entrave avait alors surgi et qui,
d’après nos sources, consistait en “le vœu de l’acquéreur potentiel de découper le bateau”.
Vœu aussitôt rejeté sur la base d’arguments écologiques a priori. Décidément “mal-aimé”, le Labici-B est à ce jour livré à lui-même, un bateau fantôme sans équipage depuis sa saisie
en 2001. “Les offres parvenues aux Domaines lors des deux premières mises en vente aux enchères publiques ne dépassaient pas les 100 000 $ US, alors que l’on en demande 800
000”, a-t-on également appris à propos du “bateau rouge, bateau rouille”. “C’est un cas qui a fini par constituer un véritable dossier, plutôt compliqué, et c’est pourquoi la
direction générale des Domaines à Alger a décidé de le prendre en charge à son niveau”, nous a confié un cadre de l’administration concernée il y a quelques mois (à moins que ce ne
fut qu’une manière de nous inciter à renoncer à “creuser davantage sur ce terrain” ?). “En stand-by depuis maintenant bientôt onze ans, l’épaisseur de sa coque diminue chaque jour
davantage sous l’effet inexorable d’une corrosion implacable. Ce bateau peut sombrer à tout moment et sur place, au poste 8”, avertit-on du côté de l’EPB, “cette dernière ne faisant
qu’en assurer le renforcement de l’amarrage. Des travaux de carénage ainsi qu’un entretien régulier et assidu étaient d’une absolue nécessité dès le départ du dernier membre de
l’équipage, mais ce ne fut pas du tout le cas, si bien qu’aujourd’hui le cargo se trouve dans un état de délabrement avancé”.
Au début de la saisie de ce navire les dirigeants du port de Béjaia rêvaient de cueillir des étoiles, ils aurait du se contenter de cette offre de 100 000$, mais non ils ont laissé cette épave squatter un quai commercial pour plus de 11 ans,et enfin de compte une facture qui se chiffre à des millions de$, sont-ils inconscients ou incompétents? vous allez me dire certainement les deux à la fois.
On vient d'apprendre que Le Labici-B, le général cargo à l’abandon au port de Béjaïa depuis 2001, a été coulé par dynamitage, dimanche dernier, au large des côtes de Béjaïa au terme d’une procédure précise respectant les règles internationales d’immersion, selon la direction du port de Béjaïa.Long de 82 m, large de 15 m, battant anciennement pavillon St-Vincent, une île détaxée des Caraïbes, le navire a été remorqué par les moyens du port, à 14 miles du littoral, avant de recevoir le coup de grâce.
D'autres nouvelles
Jijel
Industries Qatar va investir 411 millions de dollars pour un complexe sidérurgique
(APS 16/02/2012) :
|
DOHA - La compagnie qatarie "Industries Qatar" a annoncé mercredi son intention d’investir 1,5 milliard de Rials qataris (411 millions US) pour la réalisation d’un complexe sidérurgique dans la région de Bellara (Jijel). Un communiqué de la société dont le ministre de l’énergie et de l’industrie qatari Mohamed Ben Salah Essada, préside le conseil d’administration, indique que la part des "industries du Qatar" dans le projet -révélé en octobre dernier par le ministre de l’industrie, de la petite et moyenne entreprise et la promotion de l’investissement, Mohamed Benmeradi- était de 24%. Le projet du complexe dénommé "Qatar Steel international" devrait entrer en service à partir de 2016 avec une moyenne de 4,8 millions de tonnes métriques par an, ajoute la même source ajoutant que les documents pour les appels d’offre étaient en cours d’élaboration pour le parachèvement des "études de faisabilité et de marché". L’investissement "colossal" compte parmi les principales clauses de la stratégie du prochain plan quinquennal, estime le groupe industriel qatari. L’usine, qui sera implantée dans la zone industrielle de Bellara (Jijel), va produire dans une première étape 2,5 millions de tonnes d’acier long, une production appelée à augmenter à 5 millions de tonnes dans une deuxième étape avec la production d’acier plat et des aciers spéciaux, avait indiqué M. Benmeradi, précisant que cette production servira notamment à développer l’industrie du rail. Chaque année l’Algérie importe pour près de 10 milliards de dollars de produits sidérurgiques, soit près de 20% de sa facture d’importation globale, selon des chiffres cités par le ministre. Sa consommation annuelle avoisine quelque 5 millions de tonnes, une demande en produits sidérurgiques que le complexe d’El Hadjar ne peut satisfaire même avec sa production appelée à augmenter à 1,5 million de tonnes dans les prochains 18 mois, avait encore noté le ministre. |
40 ans qu'on rêve et qu' on bave pour ce projet, mais non cette belle région n'a pas besoin de cette pourriture
Plage de Bei Ksila, Béjaia
Une baleine mesurant plus de 14 mètres s’est échouée jeudi matin, sur les rivages de Béni Ksila, daïra d’Adekar. Cet animal marin a été découvert sur la plage par des gardes-côtes de Béjaia. Le cétacé aurait été dérouté par un courant marin pour s’échouer sur les rivages de Béjaia. Aucune information sur les raisons de la mort de ce mammifère qui a pour milieu naturel les grandes profondeurs.
Alger: Aménagement maritime des côtes de la capitale
El Moudjahid 18/02/2012
12 milliards de dinars ont été alloués pour les travaux d'aménagement maritime des côtes Est et Ouest d'Alger. Une somme destinée également à la lutte contre l'érosion marine, a déclaré le ministre des travaux publics, M. Amar Ghoul.
Dans sa déclaration en marge d'une visite d'inspection et de lancement de ces travaux d'aménagement à Raïs Hamidou et à Aïn Taya, le ministre des Travaux publics a indiqué que l'enveloppe
financière globale accordée aux travaux maritimes « est de l'ordre de 12 milliards de dinars pour la réalisation de plusieurs projets sur les côtes d'Alger », a-t-il précisé. Confiés à
l'entreprise publique MEDITRAM, ces projets visent notamment la préservation du patrimoine maritime existant, la création d'emplois directs et indirects et l'extension des capacités d'accostage
de plusieurs ports existants, dont celui de Raïs Hamidou. Le montant de l'opération destiné à la protection et au réaménagement du port de Raïs Hamidou que le ministre des Travaux publics a
inspecté, s'élève à 1 milliard de dinars, alors que la durée des travaux de réalisation est de 26 mois. Une fois réalisé, le réaménagement de ce port, selon le ministre, « devrait constituer
un autre site portuaire et de pêche artisanale, au même titre que celui d'El Djamila ». Par ailleurs, le projet de protection du rivage d’Aïn Taya sur une longueur de 1.300 m coûtera plus de
940 millions de dinars, alors que le coût des travaux, de protection des sites côtiers de la même commune, sont estimés à plus de 330 millions de dinars.
A noter que leur taux d'avancement est de 45% selon la fiche technique du projet. Enfin, le ministre de la tutelle, a tracé des recommandations aux entrepreneurs détenteurs de ces projets
« d'aménager des promenades et des loisirs pour les piétons et notamment pour les estivants », avant de rappeler la nécessité du respect des délais de réalisation.
Alger est la seule ville maritime au monde dépourvue de promenade maritime, il faudra carrement démenager ce port laid et obsolete et rendre la mer aux algérois
Annaba
Certification ISO 9001 pour l’entreprise portuaire
El Watan 12/02/2012
L’entreprise portuaire de Annaba (EPAN) vient d’obtenir la certification ISO (International Standardization Organization), 9001, version 2008 pour ses activités de manutention et l’acconage des
marchandises, d’assistance aux navires et de gestion du domaine public portuaire. C’est Moody International, organisme international spécialisé dans l’inspection, l’analyse, l’audit
et la certification des systèmes de management qui le lui a décerné. L’EPAN connaît actuellement une évolution importante de ses activités et doit, de ce fait, opérer selon des processus et
pratiques visant en permanence la satisfaction du client ou usager portuaire. Dans ce cadre, le label qualité ISO atteste de la capacité de l’EPAN à satisfaire aux exigences de la norme 9001 tout
en poursuivant une démarche d’amélioration continue. Cette démarche d’excellence permet de fédérer l’ensemble de ses travailleurs et cadres autour d’objectifs et de valeurs d’engagement et
d’adhésion au quotidien afin d’anticiper et de répondre efficacement aux besoins des
clients.